Le ciel s'est tu
Le ciel au temps défunt
Etrange toile pâle :
Chaque nuage exhale
Intime un bref parfum.
Et dans la nuit qui s’orne
L’envoûtement carmin
Serre un rêve à demain
Eveillant la licorne
Souple, cabrée, un chœur
Tissé d’ors en paillettes
Tresse alors silhouettes…
Un autre chant, douceur.
Acrostiche : Le ciel s’est tu