L'air d'octobre

L’automne… apposés ses messages

Assourdis : les brouillards plus blancs

Invitent un air, des passages

Ricochés des temps sans élans…


Deviner l’hiver qui s’avance,

Oh, je le sens, déjà me mord,

Cruel, au cœur qui se balance

Triste, à ce requiem, or.


On dit que l’automne ne cache,

Brûlé, que d’immenses regrets;

Rêveuse, je sais qu’il m’arrache

Etreinte du jour en ses rêts.

Acrostiche : L’air d’octobre