L'ombre
L’ancienne lumière à ce rêve a cédé
Où ce souffle rauque, un visage accédé
Me brûle d’image. Est-ce plus juvénile
Brisé, ce néant… Si mon âme est sénile
Rien presque touché ne retourne au tombeau.
Et l’ombre, mon cœur le sait, vient au front beau.
Détails
Acrostiche : L’ombre