Quando sarò io
Quand la neige aura bercé le vent de mer
Un chant, vieux Fado brillera : la cithare
A l’ombre, au moment jouait ce doux-amer
Nocturne troublant… Une absence, une amarre ?
Dépravé mais chaste, un cœur, un corps… Un jour
Oublieux d’ailleurs… Rêver pour déconstruire.
Seul assez vécu, quotidien d’un amour.
Au monde un sourire ardent ne peut traduire…
Rimes du passé, sarments vers l’avenir,
On referme un mot puis l’autre bohème :
Intime, l’art vrai ne ment au souvenir,
Or le temps venu dit ce dernier poème.
"Quand je serai (moi)" en italien.
Acrostiche : Quando sarò io