Comme toi, aile

Caresse-moi de tes respirs,

Où je n’ai besoin de comprendre,

Mêlé, que l’amour aux désirs;

Mirés, mots d’âme et mots à prendre.


Etonner de rêves demain…

Tu prends mon cœur, tout à fait libre,

Ouvert à tous les cieux, ta main

Infinie, âme, touche, vibre


Au rythme de ces chants profanes.

Immiscées mille pâles nuits,

Lèvent, nous bercent et puis fanent,

Etreintes à jamais… en fruits.

Acrostiche : Comme toi, aile