Oiseaux de juillet

J’avais oublié les oiseaux

Habitants du ciel, sur la ville.

D’un coup de plume un vol toise eaux,

Pierres et rues, dessin futile.


Les hirondelles s’en iront

Plus loin pour chercher leur pitance.

L’été trace le cercle rond

Qui lie, entraîne chaque instance.


Bel être éreinté par le temps,

L’été brillant me fait sourire,

D’un coup de plume coeurs battants,

Liez le mien d’ultime lyre !