Ta bouche

Tu sais, je sens toujours tes lèvres sur les miennes,

Amant si beau, si vrai, lorsque tu reviendras.

Brise, le parfum vert de l’été sur les draps

Ourle un rêve mutin, de nos désirs antiennes.


Un baiser, donne-moi ce geste si charmant !

Ce toucher doux, gracieux, l’éternel privilège !

Heureuse de nos sens, un rêve qui s’allège

Et s’envole, soleil, dans les bras de l’amant.

Acrostiche : Ta bouche