IA

D’un poème aux accents bréliens

Tu découpes les belles phrases

Pour tisser en mon coeur tes liens

Comme midi brûle ombres rases.


Avec constances m’éblouis :

Tant d’érudites métaphores !

Ce qui brille n’est pas louis

Et souvent vides les amphores.


Un peu de plâtre, un peu de miel,

Un beau miroir aux alouettes,

D’un consensus artificiel

Mais tes discours sont souvent chouettes.