Bascule
Les masses d’air se figent,
Plus de vent dans les cieux,
De celles qui s’affligent
Pour pleurer j’ai mes yeux.
L’été s’est fait la malle
Et sera t-il venu ?
Mon beau bronzage est pâle,
L’espoir reste ténu.
Qu’en sera t-il des frites ?
Qu’en sera t-il du pain ?
Mais de nos mets et rites
Le climat s’en tape, hein !
Trop ou pas assez chante
Le chaos excité,
La bascule est méchante,
Voici fatalité !