Rêve d'été

Spectateur infini du monde en ses détails

Je laisse de côté les vaines trépidances,

L’été tisse un cocon de ses lourdes fragrances

Et file merveilleux comme un train sur ses rails.


Je chéris chaque jour et ceux encore à naître

Quand le monde si beau ne m’a rien demandé,

Il verdoie et s’emporte à la saison scandé :

Mon coeur et la nature à tout ce bonheur d’être.

Reprise modifiée du premier vers d’un poème de la première saison