J'en ai vus

J’en ai vus, des départs, sous de troublants auspices

Et resteront transis comme phares veilleurs

Nus tous les souvenirs mais juste les meilleurs

Alors que le signal annonce temps propices !


Il faut recoudre voile et remplir les gallons,

Vite, pour l’aventure, une marée emporte

Un rêve d’été bleu, juin se met à la porte,

Silences sans regrets qui tournent les talons.