La révolte de Gaïa

Coupe et je repousse !

Brûle et je verdis !

Car la mort est douce

Dit-elle aux bandits !


Coupe et je t’assomme !

Brûle mes enfants !

Matriarche à l’homme :

Je te le défends !


Coupe sans vergogne !

Brûle sans répit !

Gaïa souffle et cogne,

Ô rage et dépit !

Détails

Reprise des deux premiers vers d’un poème de la vingtième saison