Equinoxes
Septembre est comme mars, il ouvre une charnière
Vers un questionnement toujours renouvelé :
Au printemps c’est l’espoir joyeux, échevelé ;
A l’automne, récolte : est-elle la dernière ?
Septembre qui s’amène emporte faux-semblants
Et lorsque tout fait sens le rêve à la dérive
Se pose sur le coeur, la saison pleine arrive ;
Les voici revenus, équinoxes troublants.
Détails
Reprise d’une partie du premier vers d’un poème de la deuxième saison.