Maman

Ma mère comme un ange au sourire si bon

Veillait au pied du lit les nuits de mon enfance

Où la fièvre rebelle accentuait ma transe,

Et sa main fraîche et claire était sur l’édredon.


Quand le travail du jour en ultime rebond

L’abandonnait enfin, c’était pour ma relance

Et malgré sa fatigue elle avait tant patience,

L’amour pardonne tout, c’était vraiment son don.


Et quand je serai mère, aurai-je son courage ?

Mais déjà je te rends un bien sincère hommage,

Maman, car tu me fus quelqu’un de précieux,


Dans la crise ou la paix tu m’as toujours guidée

Pour qu’en mon avenir j’avance décidée,

Alors je te dédie un merci merveilleux.