Début septembre
La fin d’été se cambre :
En paresse fraîchit,
S’abandonne à septembre
Par le ciel réfléchi.
Un souvenir ricoche
Au soleil gradué :
Nouvelle pente, approche,
Sourire dénué.
Un air nouveau s’élève :
Automne que voilà
Colore notre rêve,
Reberce en ton faux-plat.
Moment d’impatience
Et de subtils ennuis
Car ton exubérance
Ravira jours et nuits !