Postface
Avant de partir sans un signe,
Naïve et belle, j’ai voulu
Dire, répéter chaque ligne,
Réveiller l’amour qui se lut.
Et sans savoir jamais peut-être
Auras-tu trouvé qui s’écrit
A chaque page, à chaque lettre,
Nommé, murmuré d’un grand cri.
De ces bonheurs au bout de plume
Rêvés, brisés, crus tout à fait,
Eteins-toi doux, sans amertume,
A l’ombre où l’ombre se défait.
Acrostiche : Andrea Andrea.
Dernier poème de mon recueil En six lettres : t’aimer.