Solstice, équinoxe
Solstice et climat…
Il est remarquable que l’été, qui sous nos latitudes est la saison la plus chaude, commence (symboliquement ?) quand les jours débutent leur raccourcissement, la température maximale étant atteinte presque deux mois après ce point à cause de l’inertie des systèmes aérien et océanique. Ce moment spécial, c’est le solstice d’été.
Dans l’enthousiasme du printemps devenu bientôt fécond au potager et sur tant d’arbres et arbustes, je n’y pense pas si souvent que ça. Mais j’ai décidé de le célébrer plusieurs fois en poésie.
De même, l’hiver commence alors que les jours rallongent. L’inertie amène la période la plus froide presque deux mois après le solstice d’hiver.
C’est une sorte de paradoxe du ressenti personnel entre la clémence relative de l’air et sa luminosité.
Quelques poèmes liés aux solstices :
d’été :
d’hiver :
- Présent simple - écrit le 17.12.2023
- Solstice d’hiver - écrit le 20.12.2004
- Solstice - écrit le 20.12.2024
- Hiver perdu - écrit le 21.12.2024
- Renouveau - écrit le 22.12.2024
Et l’équinoxe…
Equilibre du jour et de la nuit, il marque symboliquement le début de deux autres saisons, le printemps et l’automne.
Quelques poèmes liés à l’équinoxe :
d’automne seulement, celui de printemps n’étant pas aussi marquant, pourquoi est-il presque invisible à mes yeux… ? :